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¡ Photos !
¡ Bio !
Des quatre coins du monde, le quatuor montpelliérain s’est inspiré. Entre rumba,
cumbia moderne, et rythmes afro-carribéens, Que Tengo nous offre le combo parfait :
simple à danser, riche à penser !
Mené par la chanteuse hispano-marocaine Ambar, le groupe a créé son propre
univers, à la croisée des rythmes et des pays. Il nous offre aujourd’hui une musique
dansante aux textes profonds rythmée par la batterie de Damien, le clavier de Florian
et la guitare du second Damien. Trois musiciens et une chanteuse lead pour une
explosion de couleurs.
Que Tengo est né en 2016, lorsque les 4 musiciens aux carrières musicales déjà
largement entamées, se rencontrent. Chacun vient d’un univers différent (rumba, musique
cubaine, rock, jazz, musique classique ou salsa) et semble fusionner derrière une seule et
même voix : celle d’Ambar qui sera pré-nominée aux Latin Grammy Awards dans les
catégories « Meilleur enregistrement » et « Meilleure chanson » en featuring avec le groupe
Babalú Quinteto.
Avec plus de 300 concerts dont des tournées en Colombie et en Égypte, Que
Tengo a puisé dans le voyage, l’émotion et l’inspiration de leur nouvel album « Vidas ».
En chemin vers un monde meilleur, le quatuor dénonce, s’engage, observe et constate.
Immigration, écologie, condition des femmes et révolution numérique font partie de
leurs thèmes de prédilection, le tout en n’arrêtant jamais de nous faire danser !
¡ Paroles & Traductions !
Hay personas que en el camino se cruzan, le dan otro color
El llegó en la oscuridad,
se coló entre las llamas
Tenía historias, tiempo que soplar
para irse por la ramas.
Fue cuando la ráfaga empezó
su vida en torbellinos regaló
Habló de tigres, tiburones
tribus de mil colores
despertó gaitas, soñó con ríos
y evoco porros conmovedores
Cabeza de Viento, vida de huracán
Y empieza a soplar, vida de huracán
Cabeza de viento, vida de huracán
Se adapta al pasar
Puede que sus recuerdos volaran
algo lejos de la realidad
pero era tal su ilusión
y esa brisa en su mirada
que sin querer embrujaba y la verdad ya daba igual
Cabeza de viento, vida de huracán
Y empieza a soplar, vida de huracán
Cabeza de viento, vida de huracán
viento seguirá, vida de huracán
ulula algo mas, vida de huracán
ve y sopla algo mas, vida de huracán
Cabeza de viento, vida de huracán
se adapta al pasar, vida de huracán
Ya viene, ya viene, ya viene el tambor
Traduction :
Tête de vent
Il y a des personnes que l’on croise sur le chemin
Et qui lui donnent une autre couleur
Lui est arrivé dans le noir, s’est faufilé entre les flammes
Il avait des histoires et du temps pour les souffler,
se perdant dans les détails.
C’est alors que la rafale a commencé
Sa vie en tourbillons il nous a offert
Il a parlé de tigres, de requins, de tribus de milles couleurs,
Il a réveillé des « gaitas », rêvé de rivières et évoqué des « porros » à s’émouvoir.
Il se peut que ses souvenirs papillonnaient
un peu loin de la réalité
Mais telles étaient son ardeur et cette brise dans son regard
Qu’il nous ensorcelait sans le vouloir et la réalité ne comptait plus.
Tête de vent, vie d’ouragan
Il commence à souffler, vie d’ouragan
Tête de vent, vie d’ouragan
Le vent continuera, vie d’ouragan
Hulule un peu plus, vie d’ouragan
Allez, souffle un peu plus, vie d’ouragan
Tête de vent, vie d’ouragan
Il souffle selon le vent.
Il arrive, il arrive, il arrive le tambour !
Al ritmo del llamador suena Colombia, la bella
Y con su alegre tambor saca a bailar las estrellas
La gaita al cantar recuerda que una buena melodía
Merece ser escuchada a cualquier hora del día
Con un tinto de guacharaca se aguanta la noche en vela
Y se unen las maracas en esta dulce quimera
La cumbia te eleva el alma de los pies a la cabeza
Y lo hermoso es compartirla con quien viene y nos rodea,
bonita de corazón, así es Colombia, la bella.
Traduction :
Colombie, la belle
Au rythme du Llamador résonne Colombie, la Belle
Et son tambour Alegre invite à danser les étoiles
Le chant de la Gaita nous rappelle qu’une bonne mélodie
S’écoute avec bonheur à n’importe quelle heure
Un café de Guacharaca nous éveille la nuit entière
Et les Maracas se joignent à cette belle chimère
La cumbia élève l’âme depuis les pieds jusqu’à la tête
Et le plus beau est de le partager avec ceux qui nous entourent,
Le cœur empli de bonté, telle est Colombie, la Belle !
Au rythme du Llamador résonne Colombie, la Belle
Et son tambour Alegre invite à danser les étoiles
Yoyo
Me gusta bailar, me encanta cocinar
He viajado mucho para del mundo empaparMe
encanta ir al cine y salir a hacer deporte
con mi curiosidad no alcanzo nunca a saciarMe
gusta escribir, hacerte sonreír, que la vida sea multicolores.
Hay tantas cosas que te tengo que contar,
todas empiezan por yo.
Puro yoyo, si solo para jugar fuera
no habría que aguantar ese cansino yoyo
que gira, gira y suena a ya oído, yo fingido, puro yoyo.
Mi coche se estropeo y casi olvido comentar
que el polvo con mi alergia no lo puedo soporTar-de
que pasé en París, ayudé a un ciego al pasar
y que pronto volveré solo a dejarme lleVar-iar
en la rutina, de la vida disfrutar con emociones que tienes que aceptar.
Hay tantas cosas que te tengo que contar,
todas empiezan por yo.
Puro yoyo, si solo para jugar fuera
no habría que aguantar ese cansino yoyo
que gira, gira y suena…
Aun no te he dicho lo fundamental
Escúchame a mí, esto te va a interesar
mi abuelo es buen hombre, la leyenda del cisne
historias de noche, del vecino un chisme
que el cura es mi padre y de este agua no beberé
que solo un cobarde vive una y cuenta diez
qué pasa amigo, si me llamas vengo,
qué pasa contigo ésto es lo Que Tengo.
Me apasiona crear, el domingo improvisar
hablar con amigos y no psicoanalizarLos
ratos en familia, los gatos adoptar,
con su dulce ronroneo yo no paro de achucharLos
museos, la pintura, ir a una exposición
Todo el arte me acelera el corazón.
Hay tantas cosas que te tengo que contar,
todas empiezan por yo.
Puro yoyo, si solo para jugar fuera
no habría que aguantar ese cansino yoyo
que gira, gira y suena
Estancada en mi jaula de hastío,
mi don de palabras se pierde en el vacío
Mírame, mírame para valorarme
Escúchame, escúchame para no olvidaMe
gusta sonar y los suenos regarMe
gusta jugar y los juegos apropiarMe
gusta creer porque querer es poder
descubrir, contemplar el amanecer
y perderme en el camino,
en este mundo de imágenes solo veo mi reflejo
y toda esta gran vorágine de intenciones sin sentido,
de intenciones sin sentido
Yo miro, yo juego, yo sueno, yo creo, yo quiero…
Puro yoyo, si solo para jugar fuera
no habría que aguantar ese cansino yoyo
que gira, gira y suena a ya oído, yo fingido, puro yoyo.
Levanta la mano si esto te ha pasado a ti
levanta la mano, conoces a alguien así
Traduction :
J’aime danser, j’adore cuisiner
J’ai beaucoup voyagé pour m’imprégner du monde
J’adore aller au cinéma et faire du sport,
J’ai une telle curiosité que je ne me satisfais jamais
J’aime écrire et te faire sourire
Que la vie soit multicolore
Il y a tellement de choses que je dois te raconter
et elles commencent toutes par Moi.
Un pur Yoyo (Moi-moi),
Si c’était juste pour jouer, il ne faudrait pas supporter ce fatiguant
Moi
Qui tourne tourne et sonne comme un Moi déjà-vu, un Moi surjoué
Ma voiture est tombée en panne
Et j’ai failli oublié de dire que la poussière,
avec mon allergie, je ne peux pas la supporter
Mon après midi à Paris, j ai aidé un aveugle à traverser la route
et bientôt je vais me laisser aller encore une fois,
je vais changer la routine,
et profiter de la vie avec ces émotions que l’on doit accepter.
Il y a tellement de choses que je dois te raconter et elles commencent toutes par Moi.
Je ne t’ai pas encore dit le plus important,
écoute moi bien, cela va t’intéresser
Mon grand père est un bel homme
La légende du cygne, des histoires de la nuit, un ragot sur le voisin
Alors, mon ami, si tu m’appelles je viens
Qu’est-ce qu’il t’arrive, tout cela c’est Moi.
Je suis passionnée de création, des dimanches improvisés
Inviter des copains et ne pas les psychanalyser
Les moments en famille, adopter des chats
Leurs ronrons sont si doux, je les prends toujours dans mes bras
Les musées, la peinture, aller à une expo
Tout art fait battre mon cœur
Il y a tellement de choses que je dois te raconter et elles commencent toutes par Moi.
Bloquée dans ma cage de lassitude
Mes beaux discours se perdent dans le vide
Regarde-moi, regarde-moi pour me valoriser
Écoute-moi, écoute-moi pour ne pas m’oublier
J’aime rêver et m’offrir les rêves
J’aime jouer et m’approprier les jeux
J’aime croire parce que vouloir c’est pouvoir
Découvrir, observer le lever du soleil
Et me perdre sur le chemin
Dans ce monde d’images je ne vois que mon reflet
Et tout cet ouragan vide d’images insensées
Je vois, je joue, je rêve, je crois, je veux….
Lève la main si cela t’es arrivé
Lève la main si tu connais quelqu’un comme ça
Una nota que interrumpe el silencio
Y resbala como como si nada
En la noche desequilibrio una aurora de harmonia
Una aurora de harmonia
Se oye un tambor requinta una cuerda
Brilla un esplendor un rio nace y se va
En su orilla el sonido
Trae la paz, trae el amor
Embarca en mi canoa sube, sube
Vamos alla alla en esta corriente
Donde nos lleva el arroyo no sé
Con su vaiven su tumulto incesante
Que va y nos deja hechizados en el instante
El manantial se va fluyendo, crece
Por el camino encuentra quien lo fortalece
Se unen las aguas y el caudal
Llena de ritmo el alma del mar
Embarca en mi canoa sube, sube
Vamos alla alla en esta corriente
Donde nos lleva el arroyo no sé
Con su vaiven su tumulto incesante
Que va y nos deja hechizados en el instante
Esa agua azul se enrede con las mares
El sol lo eleva en sus altares
Lo lleva de paseo por el aire
Al son de lluvia vuelve a bailar
Con los pies en el suelo
La cabeza arriba
Giran ruedas de la vida
Y por sus venas mana constante
Ilusion fuerza belleza y energia
Embarca en mi canoa sube, sube
Vamos alla alla en esta corriente
Donde nos lleva el arroyo no sé
Con su vaiven su tumulto incesante
Que va y nos deja hechizados en el instante
Traduction :
Une note interrompt le silence
Et glisse, comme si de rien n’était
Un déséquilibre dans la nuit,
l’aube d’une harmonie
‘
On entend un tambour, une corde résonne
En un scintillement un fleuve naît et s’en va
Sur sa berge le son
Amène la paix, amène l’amour
Embarque dans mon canoé, monte, monte
Allons là bas, l bas dans le courant
Ou nous amène le flot, je l’ignore
Avec son va et vient, son tumulte incessant
Qui suit son cours, nous ensorcelle en un instant
Le ruisseau coule, croît,
Trouve en chemin les forces pour grandir
Les eaux s’unissent et tout ce flux
Remplit de rythme l’âme de la mer
Cette eau bleue se mêle aux mers
Le soleil l’élève dans son palais
L’amène en promenade dans les airs
Et elle revient danser au son de la pluie
Les pieds au sol, La tête en l’air
Les roues de la vie tournent
Et dans tes veines coulent constamment
Le plaisir, la force, la beauté et l’énergie
No son ocho ni son veinte sino muchos muchos más
los brazos que con buen ritmo del mar siguen el compás
Ahí tiran con decisión de una cuerda bien tejida
atarraya desmedida que avanza con precisión.
No son ocho ni son veinte sino muchos muchos más
los buitres que con paciencia del mar siguen el compás
tan solo es cuestión de tiempo y hay tiempo para esperar
pronto habrá pescao y arena para sus vientres saciar.
Unos visten de colores, de colores
y otros de negro cinzonte, de negro cinzonte
Son personas en la arena y buitres que en las palmeras observan el horizonte.
No son ocho ni son veinte sino muchas muchas más
ilusiones, esperanza y ganas de aprovechar
lo que el amplio mar propone y sin por ello abusar
de la magia que esta vida nos insiste en regalar.
Unos visten de colores, de colores
y otros de negro cinzonte, de negro cinzonte
Son personas en la arena y buitres que en las palmeras observan el horizonte.
En la Guajira del Caribe
Soñamos, nos divertimos
En la Guajira del Caribe
Cantamos lo que vivimos
Aquella playa infinita de ritmo ganas y pasión
Fantasías paralelas que bailan bajo el calor
en la arena y las ramas palpitan mil corazones
y aquel denso mar agita ilusiones de colores.
Traduction :
De couleurs
Ils ne sont ni huit, ni vingt, mais beaucoup beaucoup plus
Les bras qui, en cadence, de la mer suivent le flux
Ils tirent sans fléchir une corde bien tissée
Rapprochant lentement mais sûrement un filet démesuré
Ils ne sont ni huit, ni vingt, mais beaucoup beaucoup plus
Les vautours qui patiemment de la mer suivent le flux
C’est une simple question de temps, et ils ont le temps de patienter
Bientôt des poissons dans le sable seront là pour les rassasier
Certains sont vêtus de couleurs, et d’autres d’un noir profond
Des personnes sur le sable et des vautours sur les palmiers, observant l’horizon
Ils ne sont ni huit, ni vingt, mais beaucoup beaucoup plus
Les désirs, les espoirs, la soif de profiter
De ce qu’offre la vaste mer, sans pour autant abuser
De la magie que la vie ne cesse de nous donner
Dans la Guajira des caraïbes
Nous avons rêvé, nous avons ri
Dans la Guajira des caraïbes
Nous te chantons ce que nous avons vécu
Cette plage infinie de rythmes, désirs et passions
Fantaisies parallèles qui dansent sous la chaleur
Sur le sable et les branches, mille cœurs à l’unisson
Et l’ample mer agite nos envies de couleurs
La cumbia pirata / Es la cumbia pirata
Le temps des pirates c’est fini faut s’ranger
Ranger nos peluches et notre nadveté
C’est tellement plus propre, tellement plus sain
Tellement rassurant
On trouve un vrai boulot, on trouve une âme sœur
On achète des murs, et des couches, et des pleurs
On construit, c’est tant mieux, c’est la vie
On essaye d’être heureux, on avance, c’est la vie
Les copains d’abord ont quitté le navire
De rares sourires ont remplacé les rires
On est si mature qu’on n’ose se demander
R quoi ça sert de vivre si on ne peut plus rêver
La cumbia pirata / C’est la cumbia pirata
La cumbia t’invite à vivre et à chanter
Il faut seulement continuer, continuer à rêver
Parfois les Peter Pan viennent nous conter leurs peines
Nous parlant du temps des pirates sans foi ni loi
Mais qu’est-ce qu’on peut leur dire, on ne connaît plus leurs chaînes
Et il y a longtemps qu’on a oublié leurs joies
Alors on dit qu’hier, c’était seulement hier
Et nos âmes d’enfants dorment sous la poussière
Et sous deux ou trois tonnes de raisons raisonnables
R se tirer une balle tellement elles sont banales
On admire Johnny Depp le soir r la télé
Au fond toutes les histoires sont des contes de fée
L’art n’existe que pour s’évader un moment
De la prison dorée de nos renoncements
On se crée des héros qui prennent tous les risques
Par amour simple et pur de toute l’humanité
Puis on balance nos rêves pour du fric
Et on perd notre vie à vouloir la gagner
Refr
On admire Johnny Depp le soir r la télé
Au fond toutes les histoires sont des contes de fée
L’art n’existe que pour s’évader un moment
De la prison dorée de nos renoncements
On se crée des héros qui prennent tous les risques
Par amour simple et pur de toute l’humanité
Puis on balance nos reves pour du fric
Et on perd notre vie r vouloir la gagner
Les copains d’abord ont quitté le navire
De rares sourires ont remplacé les rires
On est si mature qu’on n’ose se demander
R quoi ça sert de vivre si on ne peut plus rever
Refr
Traduction :
Cumbia Pirate
La vida pirata ha terminado, es tiempo de recoger
recoger nuestros peluches y nuestra inocencia
Es algo tan esperado, tan sano
tan reconfortante
Encontramos un verdadero trabajo, a nuestra media naranja
compramos muros, y pañales y lloros
Construimos algo, es mejor, así es la vida,
intentamos ser felices, es normal, es la vida.
Los amigos de abordo ya han quitado el barco
algunas sonrisas han sustituido a las risas
Y somos tan maduros que ni nos atrevemos a dudar
de para qué vivimos si no podemos soñar.
A veces los Peter Pan vienen a confiarnos sus penas
nos hablan de su vida pirata, sin fe ni ley
Pero qué podemos decir, ya no conocemos sus cadenas
y hace mucho tiempo que olvidamos su felicidad
Entonces decimos que ayer, fue tan solo ayer
y nuestras almas de niños duermen bajo el polvo
Y bajo dos o tres toneladas de razones razonables
aunque no merezcan la pena y sean banales.
Admiramos a Jonnhy Dep cuando sale por la tele
Aunque todas las histoiras sean cuentos de hadas
El arte solo existe para evadirnos un momento
De la prisión dorada de nuestras renuncias
Nos creamos héroes que se arriesgan por nosotros
Por amor simple y puro de toda la humanidad
Y entonces renunciamos a nuestros sueños por dinero
Y perdemos nuestra vida pretendiéndola ganar.
La hipocresía perdió su nombre
Justo cuando sintió libertad para decir
Sin temor lo que pensó
Un suspiro bastó al odio para olvidar mal pasado
Para vivir le presente
Y permitir lo esperado
La gula se puso a dieta y regaló, regaló la avaricia
Y perdonó la conciencia
Y fue justa la justicia
Para cambiar realidad basta con contradecir cultura y sociedad
Para cambiar realidad basta con contradecir rutina y obviedad
Fue a bailar la timidez
Sin vergüenza, sonriendo
El tiempo enjuveneció, la quietud salió corriendo
La prisa espero paciente, el miedo se apaciguó
Y la muerte, ya viciada
10.000 años hibernó
Se hizo austera la riqueza
La censura, no miento, no calló
Y la locura muy cuerda sus sueños fue y realizó
Para cambiar realidad basta con contradecir cultura y sociedad
Para cambiar realidad basta con contradecir rutina y obviedad
Traduction :
L’hypocrisie a changé de nom
Le jour ou elle s’est sentie libre de dire
Sans peur ce qu’elle pensait
Un soupir a suffi à la haine pour oublier les maux passés,
Pour vivre le présent
Et jouir de l’espoir.
La gourmandise s’est privée, l’avarice a donné,
La conscience a pardonné
Et la justice fut juste.
Pour changer la réalité il suffit de contredire
Culture et société
Pour changer la réalité il suffit de contredire
Routine et évidence
La timidité a dansé sans honte, en souriant,
Le temps a rajeuni
La quiétude est partie en courant
La hâte a attendu patiemment
La peur s’est calmée
Et la mort, assouvie, a hiberné 10 000 ans.
La richesse s’est faite austère,
La censure, je ne mens guère, ne s’est pas tue
Et la folie, très sensée, a réalisé ses rêves.
Hay veces que el tiempo pasa y no ansía sino que pase,
que pase la bruma, que pase el temblor
que no pise el paso, que no pese el peso del desenlace.
Ahí ronca si cae la noche, racaneando aquel silencio
encorado a su altanera noción de lo que es la paz
visión de lo que es la espera, de lo que es la espera.
Suave pisa al avanzar, firme pesa en lo buscado
al caminar pasa suave, posa firme en lo alcanzado.
Avanza a contra timón, viento en popa a toda vela
y no corre, más bien vuela, es valiente devorador
de veladas traicioneras, de un momento efímero,
de ilusiones parranderas, es caduco y eterno.
Traduction :
Il est des jours où le temps passe et n’espère que passer
Que passe la brume, que passent les tremblements
Que les pas soient légers, que ne pèse pas le dénouement.
Il bourdonne à la nuit tombée, s’approprie le silence
Proclame fièrement son idée de ce qu’est la paix,
De ce qu’est l’attente.
Il est doux en défilant, il est ferme quand il trouve
Il chemine doucement et parfois s’impose brutalement
Il avance à contre-courant, vent en poupe, toutes voiles dehors,
Il ne court pas, il vole, c’est un ogre qui dévore
Les veillées imprévues, les moments éphémères,
Les illusions d’euphorie, il est caduc et éternel.
Paroles: Antoine Pol.
Je veux dédier ce pocme
A toutes les femmes qu’on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu’on connaît à peine
Qu’un destin différent entraîne
Et qu’on ne retrouve jamais
A celle qu’on voit apparaître
Une seconde à sa fenetre
Et qui, preste, s’évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu’on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu’on est seul, peut-etre, à comprendre
Et qu’on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré la main
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d’un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D’un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d’un jour déçues
Vous serez dans l’oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu’on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l’on a manqué sa vie
On songe avec un peu d’envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu’on n’osa pas prendre
Aux cœurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu’on n’a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l’on n’a pas su retenir
Texte : Antoine Pol, Composition : Georges Brassens, Arrangements : Que Tengo !
Traduction :
Las fugaces
Yo quiero dedicar este poema
A todas las mujeres que amamos
Durante algunos instantes secretos,
A las que conocemos apenas,
A las que arrastra un destino distinto,
Y que no se vuelven a ver más.
A la que vemos aparecer
Un segundo en su ventana
Y que, rápidamente, se desvanece,
Pero cuya esbelta silueta,
Es tan graciosa y delicada
Que nos quedamos maravillados.
A la companera de viaje
Cuyos ojos, encantador paisaje,
Hacen parecer corto el camino.
Que somos los únicos en comprenderla
Y que dejamos sin embargo bajar
Sin haber rozado su mano.
A las que ya están comprometidas,
Y que, viviendo horas grises,
Cerca de un ser demasiado diferente,
Nos han dejado, inútil locura,
Ver la melancolía
De un futuro desesperante.
Queridas imágenes vistas,
Esperanzas frustradas de un día,
Manana estaréis en el olvido.
Con solo un poco de felicidad que tengamos
Es raro que nos acordemos
De los episodios del camino.
Pero si hemos fracasado en la vida,
Pensamos con un poco de ganas
En todas esas felicidades entrevistas,
En los besos que no osamos tomar,
En los corazones que debían esperarnos,
En los ojos que no hemos vuelto a ver.
Entonces, en las noches de hastío,
Poblando nuestra soledad
Con los fantasmas del recuerdo,
Lloramos los labios ausentes
De todas las bellas fugaces
Que no supimos retener.
Un jour l’amour s’était perdu
Un jour les anges ne chantaient plus
Mais il a suffi d’un ciel bleu
Pour que nos âmes retrouvent le feu
Un jour les armes se sont tues
Un jour les hommes l’ont compris
On croit tirer sur l’ennemi
Mais c’est soi-même que l’on tue
Dans tes bras ce rêve de paix
L’espoir n’est pas qu’une belle idée
Il y a un cœur dans nos murailles
Il y a des fleurs sous la mitraille
Un jour les peuples se sont levés
Un jour les murs ont éclaté
Dans l’oubli d’un triste éden
C’est la vie, la vie qui brise ses chaînes
Dans tes bras ce rêve de paix
L’espoir n’est pas qu’une belle idée
Il y a un cœur dans nos murailles
Il y a des fleurs sous la mitraille
Dans tes bras l’humanité
L’espoir n’est pas qu’une belle idée
Il y a une lueur dans la grisaille
Il y a des fleurs sous la mitraille
Il y a nos cœurs et leur espoir d’un monde meilleur
Traduction :
Flores bajo la metralla
Un día, el amor se había perdido
un día los ángeles ya no cantaban
pero bastó un cielo azul
para que nuestras almas se reencontraran.
Un día las armas guardaron silencio
un día los hombres lo entendieron…
si disparamos al enemigo
nos matamos a nosotros mismos.
En tus brazos este sueño de paz
la esperanza no es sólo una ilusión
hay un corazón en nuestras murallas
hay flores bajo la metralla
Un día los pueblos se levantaron
Un día los muros estallaron
en el olvido de un triste edén
es la vida, la vida que quiebra sus cadenas.
En tus brazos la humanidad
la esperanza no es sólo una ilusión
hay un atisbo de luz en la tiniebla,
hay flores bajo la metralla,
y nuestros corazones y la esperanza de un mundo mejor.
Prepárate para oír lo que tengo que anunciarte,
conseguimos atrapar a la mujer más buscada, está bien aislada
No sabe ni qué decir, no puede justificar
el porqué de tanto abuso, el sinfín de interrogantes,
la falta de humanidad.
Ayer nos hundía impune, nos robaba el alma, absorbía la piel
y hoy al fin reaccionamos y entre todos cambiamos su forma de ser.
Malvada y poderosa, tenía sed de ansia infinita,
incluso efecto letal, la muy maldita, la muy maldita.
Aquella desvergonzada se llamaba economía,
nos engañó sin pudor y su sueño terminó porque no nos convenía.
Ayer nos hundía impune, nos robaba el alma, absorbía la piel
y hoy al fin reaccionamos y entre todos cambiamos su forma de ser.
Traduction :
Que dire
Prépare toi à écouter ce que je dois t’annoncer
On a pu attraper la femme la plus recherchée
On l’a bien isolée
Elle ne sait que dire,
elle ne peut justifier
le pourquoi de tant d’abus
les interminables interrogations,
le manque d’humanité.
Hier elle nous écrasait en toute impunité,
elle volait notre âme, absorbait notre peau
Et aujourd’hui, enfin nous réagissons
et ensemble nous changeons sa façon d’être.
Méchante et puissante
elle avait soif d’envies infinies
pouvant aller jusqu’à la mort
la maudite, la maudite.
Cette sans vergogne s’appelait économie
elle nous trompait sans pudeur
mais son projet s’achève car il ne nous convenait pas.
Ésta es la historia de un hombre que abrió los ojos
y no vio nada suficiente, y no vio nada interesante.
No es nada más, no es nada más
Por eso, el decidió cerrar los ojos
y no volver a abrirlos jamás.
No es nada más, no es nada más.
Viviría en la oscuridad de un mundo aislado,
suyo nada más.
Ansiado, querido, roto, opaco, lúgubre, sombrío, nada más.
Turbio, velado, melancólico, suyo nada más.
Traduction :
C’est l’histoire d’un homme qui a ouvert les yeux
Et n’a rien vu de suffisant, rien vu d’intéressant
Ce n’est rien de plus, ce n’est rien de plus
C’est pour cela qu’il a décidé de fermer les yeux
Et de ne plus jamais les ouvrir
Ce n’est rien de plus, ce n’est rien de plus
Il vivrait dans l’obscurité d’un monde isolé,
Qui lui appartiendrait
Désiré, choisi, brisé, opaque, lugubre, sombre, rien de plus.
Trouble, voilé, mélancolique, qui lui appartiendrait.
Contact / Pro
Booking / Management
R3dline Productions
Maryline chevallot
maryline@r3dline.fr
+33(0)6 64 52 60 65
Envie de joindre les membres du groupe ?
contact@quetengo.com